Erotica
Vraies intentions

Oui c’est vrai que je veux abuser de toi, mais dis-moi, de quoi as-tu peur ?
Oui c’est vrai que je veux planter mes griffes sur ta peau, mais dis-moi, en quoi c’est une erreur ?
Oui c’est vrai que je ne te rappellerai peut-être pas le lendemain, mais dis-moi, tu veux mon cœur ?
Tu savais bien dans quoi tu te glissais,
Quand mes yeux t’ont fixé sans ciller.
Je suis la nuit, je suis le feu,
Je suis la bouche qui crache les vœux.
Pas de promesse, que des soupirs,
Pas d’aveux, juste des désirs.
Alors penche-toi, ôte ta peur,
Et viens goûter mon goût de fleur.
Ce n’est pas de l’amour, mais ça s’en approche,
Une transe brute, un coup de torche.
Et quand mes hanches crieront ton nom,
Tu verras que l’oubli vaut bien le frisson.
Et si demain je t’ai déjà quitté,
Sache que la nuit, elle, a tout gardé.
Chaque râle, chaque morsure en mémoire,
Gravée sur ta peau comme un bout d’histoire.
Oui c’est vrai que je veux planter mes griffes sur ta peau, mais dis-moi, en quoi c’est une erreur ?
Oui c’est vrai que je ne te rappellerai peut-être pas le lendemain, mais dis-moi, tu veux mon cœur ?
Tu savais bien dans quoi tu te glissais,
Quand mes yeux t’ont fixé sans ciller.
Je suis la nuit, je suis le feu,
Je suis la bouche qui crache les vœux.
Pas de promesse, que des soupirs,
Pas d’aveux, juste des désirs.
Alors penche-toi, ôte ta peur,
Et viens goûter mon goût de fleur.
Ce n’est pas de l’amour, mais ça s’en approche,
Une transe brute, un coup de torche.
Et quand mes hanches crieront ton nom,
Tu verras que l’oubli vaut bien le frisson.
Et si demain je t’ai déjà quitté,
Sache que la nuit, elle, a tout gardé.
Chaque râle, chaque morsure en mémoire,
Gravée sur ta peau comme un bout d’histoire.