Erotica
Ton arme

Il m’a regardée pendant un instant puis m’a dit :
« Tu n’es pas une femme, tu es une arme, une envie. »
Une bouche qui désarme, un regard qui transperce,
Une douceur qui claque, un parfum qui renverse.
Tu avances nue comme on mène une guerre,
Avec des gestes lents, mais une rage sincère.
Tu ne cries pas, tu possèdes sans bruit,
Et moi, pauvre homme, je fonds sous ton appui.
Tu vises juste, entre les reins, dans la gorge,
Tu susurres des ordres que personne ne forge.
Chaque soupir devient projectile,
Chaque baiser : une balle subtile.
Tu ne fais pas l’amour, tu fais capituler,
Tu transformes la nuit en champ de vérité.
Et quand tu dis “viens”, on obéit sans débat,
Comme un roi nu face à son ultimatum bras-bas.
Alors oui, je suis une arme, c’est vrai,
Mais une arme de miel, de feu et de paix.
Je ne tue pas, je libère, je délie,
Et je fais du plaisir… une douce folie.
« Tu n’es pas une femme, tu es une arme, une envie. »
Une bouche qui désarme, un regard qui transperce,
Une douceur qui claque, un parfum qui renverse.
Tu avances nue comme on mène une guerre,
Avec des gestes lents, mais une rage sincère.
Tu ne cries pas, tu possèdes sans bruit,
Et moi, pauvre homme, je fonds sous ton appui.
Tu vises juste, entre les reins, dans la gorge,
Tu susurres des ordres que personne ne forge.
Chaque soupir devient projectile,
Chaque baiser : une balle subtile.
Tu ne fais pas l’amour, tu fais capituler,
Tu transformes la nuit en champ de vérité.
Et quand tu dis “viens”, on obéit sans débat,
Comme un roi nu face à son ultimatum bras-bas.
Alors oui, je suis une arme, c’est vrai,
Mais une arme de miel, de feu et de paix.
Je ne tue pas, je libère, je délie,
Et je fais du plaisir… une douce folie.