Poesie
Clément

J’ai voulu attraper ta main, tu m’as fui…
J’ai déclaré mes sentiments, tu n’as pas dit Oui
Tu as vu les larmes qui brillaient dans mes yeux
Pour toi, tout cela n’était qu’un jeu …
Des larmes sur mesure, vraiment?
Pour qui me prends-tu, Clément ?
Arrête de me regarder avec ton dos si large
Tu te sers de ton corps comme une targe
Tu m’empêches d’atteindre ton cœur
Fais-toi plaisir, laisse-toi aimer, n’aie pas peur…
Tu crois que je veux t’enchaîner, t’emprisonner ?
Mais c’est juste ton âme que je veux apprivoiser.
Je ne suis pas une tempête à redouter,
Je suis la pluie douce qui vient te désarmer.
Je t’ai tendu la paix, tu as levé ton mur,
Comme si l’amour n’était qu’un coup trop dur.
Mais moi, je suis restée, même quand tu fuyais,
À t’aimer en silence, pendant que tu doutais.
Tu parles peu, tu caches tout, tu fais le fort,
Mais je connais tes nuits, je ressens tes efforts.
Et si tu crois que mon amour est une dette,
Tu te trompes, Clément, il est une conquête.
Tu mérites qu’on t’aime, même si tu l’ignores,
Même si tu préfères le silence à l’aurore.
Mais sache qu’un jour, ce cœur que tu crains,
Dira “tant pis” — et ce sera la fin.
Alors regarde-moi, sans armure, sans détour,
Je ne veux rien d’autre que te couvrir d’amour.
Mais je ne mendierai pas ce que tu retiens :
Je suis précieuse — tu le verras… quand il sera trop loin.
J’ai déclaré mes sentiments, tu n’as pas dit Oui
Tu as vu les larmes qui brillaient dans mes yeux
Pour toi, tout cela n’était qu’un jeu …
Des larmes sur mesure, vraiment?
Pour qui me prends-tu, Clément ?
Arrête de me regarder avec ton dos si large
Tu te sers de ton corps comme une targe
Tu m’empêches d’atteindre ton cœur
Fais-toi plaisir, laisse-toi aimer, n’aie pas peur…
Tu crois que je veux t’enchaîner, t’emprisonner ?
Mais c’est juste ton âme que je veux apprivoiser.
Je ne suis pas une tempête à redouter,
Je suis la pluie douce qui vient te désarmer.
Je t’ai tendu la paix, tu as levé ton mur,
Comme si l’amour n’était qu’un coup trop dur.
Mais moi, je suis restée, même quand tu fuyais,
À t’aimer en silence, pendant que tu doutais.
Tu parles peu, tu caches tout, tu fais le fort,
Mais je connais tes nuits, je ressens tes efforts.
Et si tu crois que mon amour est une dette,
Tu te trompes, Clément, il est une conquête.
Tu mérites qu’on t’aime, même si tu l’ignores,
Même si tu préfères le silence à l’aurore.
Mais sache qu’un jour, ce cœur que tu crains,
Dira “tant pis” — et ce sera la fin.
Alors regarde-moi, sans armure, sans détour,
Je ne veux rien d’autre que te couvrir d’amour.
Mais je ne mendierai pas ce que tu retiens :
Je suis précieuse — tu le verras… quand il sera trop loin.